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100 pompes par jour», protéines et Ozempic : la métamorphose musclée (et surprenante) de Sacha Baron Cohen à 53 ans

26 juillet 2025

Oui, Borat a pris du muscle. Et pas qu’un peu ! À 53 ans, Sacha Baron Cohen fait la Une de Men’s Fitness… torse gainé, regard concentré, biceps bien en vue. Mais alors, comment est-ce qu’un comédien connu pour son humour potache s’est transformé en colosse Marvel ? Accrochez-vous, son entraînement est aussi fou que ses personnages.

Transformation musclée de Sacha Baron Cohen - entre pompes, protéines et Ozempic

Une métamorphose qui ne passe pas inaperçue

Nouveau rôle, nouveau corps. Pour incarner Mephisto dans Ironheart (Disney+), l’acteur britannique n’a pas lésiné : 100 pompes par jour, régime protéiné, moins de sucre, et… un petit coup de pouce ? Il le dit lui-même avec autodérision : « certains prennent un coach, d’autres un chef, certains optent pour l’Ozempic… moi j’ai pris les trois ! ».

Le résultat ? Spectaculaire. Sur Instagram, les commentaires fusent : « C’est de l’IA, non ? », « Photoshopé à mort », « C’est même plus lui ». Et pourtant, si. « Ce n’est pas l’IA », répond-il. « Je suis juste assez égocentrique pour faire ça ».

100 pompes par jour, c’est sérieux ?

Eh bien oui. Et pas juste pour faire joli. Sacha Baron Cohen raconte avoir intégré un entraînement quotidien, entre pompes, tractions et séances de muscu bien cadrées. Tout ça, accompagné d’un régime très strict :

  • Protéines en priorité (bye bye les plats en sauce)
  • Fibres à gogo
  • Sucre réduit au strict minimum
  • Milk-shakes protéinés plutôt que la bonne vieille bière

Un changement de cap impressionnant, surtout à plus de 50 ans. Mais l’acteur assume, avec humour toujours : « je démarre un nouveau personnage : un homme de 50 ans qui remplace la bière par les milk-shakes protéinés ». C’est dit.

Le coach derrière le miracle

Derrière tout bon six-pack, il y a souvent un coach. Et pas n’importe lequel ! Alfonso Moretti, alias The Angry Trainer, a accompagné Sacha tout au long de cette transformation. Un expert qui a déjà métamorphosé des célébrités comme Matthew McConaughey.

Comment Sacha l’a trouvé ? Petite anecdote croustillante : « J’ai appelé Matthew pour lui demander de l’aide. Il m’a d’abord demandé qui j’étais… et comment j’avais eu son numéro ! ».

Le coach confirme sur Instagram :

« Sacha a bossé dur. Très dur. Ce n’est pas de la retouche ni de l’IA. J’ai les vidéos. Il a tout mérité. »

Et il n’est pas le seul à le penser. Même la rédaction de Men’s Fitness salue « l’engagement et la discipline » de l’acteur.

Ozempic, régime et… divorce ?

Évidemment, quand une transformation est aussi radicale, les hypothèses fusent. Ozempic ? Hormones ? Biohacking ?

Mais un autre élément revient dans les commentaires : son récent divorce avec Isla Fisher. Serait-ce le déclencheur ?

  • « Revenge body activé »
  • « Les hommes après un divorce : salle, shaker, selfies »
  • « Mode célibataire on. Thérapie off »

Ça pique, mais c’est aussi révélateur. Un changement de vie personnel coïncide souvent avec un changement physique. Et Sacha ne cache pas l’impact de cette phase. Il parle d’un besoin de « mouvement », de « routine », et d’« énergie nouvelle ».

Ce qu’on peut en retenir (sans coach ni IA)

Sacha Baron Cohen le dit lui-même : pas besoin d’être une star hollywoodienne pour bouger. Même 20 à 30 minutes d’activité par jour, c’est déjà un bon début. Alors, même si on n’a pas Alfonso au bout du fil ou un abonnement à la salle VIP, on peut retenir quelques idées simples :

3 choses à piquer à Sacha :

  • Bouger chaque jour, même un peu (marche, pompes, gainage… tout compte)
  • Mieux manger (plus de protéines, moins de sucre, pas besoin d’être extrême)
  • Garder l’humour (toujours plus léger que la fonte à soulever)

Et si en plus on arrête de comparer nos abdos à ceux d’un acteur coaché, c’est encore mieux.

Un corps sculpté, mais aussi une image assumée

Là où Sacha frappe fort, c’est sur son ton. Aucun discours culpabilisant. Pas de morale fitness en mode « bouge ou échoue ». Il reste fidèle à lui-même : drôle, lucide, un brin provoc’.

Il assume aussi la contradiction : oui, il a des moyens que d’autres n’ont pas. Mais il ne cache rien, et en joue. Il transforme même son parcours en message à double lecture :

  • Oui, on peut se transformer, même à 50 ans
  • Non, ce n’est pas toujours réaliste pour tout le monde

Et c’est sans doute pour ça que cette transformation fascine autant. Elle mélange effort, humour, image et ego… le tout avec une pincée d’autodérision qui change tout.

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